> retour accueil


© caroline sury courtesy arts factory [ galerie nomade ]

© caroline sury courtesy arts factory [ galerie nomade ]

© caroline sury courtesy arts factory [ galerie nomade ]


--------------------------------------------------------------------------------------------------------
caroline sury / membracides
--------------------------------------------------------------------------------------------------------
> arts factory [ galerie nomade ] > étape 51
> du 31/08 au 21/09/2013
> galerie lavignes-bastille - 27 rue de charonne 75011 paris
---------------------------------------------------------------------------------------------------------
> vous souhaitez obtenir plus d'informations sur cette exposition ?

> n'hésitez pas à nous contacter par e-mail >
artsfactory@free.fr
---------------------------------------------------------------------------------------------------------

Caroline Sury est née en 1964 à Laval. Diplômée de l’Ecole des Beaux-Arts de Bordeaux en 1989, elle vit et travaille à Marseille. Co-fondatrice avec Pakito Bolino de la maison d’édition Le Dernier Cri - plaque tournante de l’undergraphisme international depuis 1993 - elle impose très vite son univers girl power option trash dans des dizaines de publications au tirage ultra-limité, le plus souvent imprimées en sérigraphie. Son dessin à la fois nerveux et foutraque, particulièrement ancré dans les affres du quotidien, a régulièrement illustré les pages de Libération, Le Monde ou La Provence, avant de s’épanouir dans «Bébé 2000» et «Cou Tordu» ; deux récits autobiographiques en bande dessinée, respectivement publiés par l’Association en 2006 et 2010.

Pour sa première exposition solo avec Arts Factory, Caroline a choisi de laisser les crayons au vestiaire et présente ses «Membracides», une série de personnages découpés avec une paire de ciseaux bien affûtés et un cutter millimétré. Véritables dentelles de papier aux formes parfaitement symétriques, ces portraits - essentiellement féminins - sont là encore truffés de références personnelles soigneusement dissimulées :
«Quand je me suis lancée dans le découpage, je ne savais pas trop ce que j’allais créer. Pour les plus récents, je me suis appuyée sur une série de dessins. Ils ont été ma matière première, et j’ai ensuite retravaillé l’idée pour la découpe. Il y a forcément de l’autoportrait quelque part, puisque je pars de mes sentiments du moment.»

Renforcé par l’utilisation du papier noir, ce jeu de masques onirique est définitivement assumé à l’évocation du titre de l’exposition : «Les membracides sont de tout petits insectes qui, pour se défendre, arrivent à prendre l’apparence de choses repoussantes ou mortelles. Par exemple, se faire passer pour une fourmi atteinte d’un champignon vénéneux. C’est assez fascinant !».

> à l'occasion de l'exposition, parution d'un tout nouveau livre de caroline sury chez u.d.a.
> citations extraites de l’article «caroline aux mains d’argent» / aileen orain pour ventilo

---------------------------------------------------------------------------------------------------------
/ légendes des oeuvres /
---------------------------------------------------------------------------------------------------------

/ de haut en bas /

caroline sury - "volupté", 2012 - papier découpé, 70 x 50 cm
portrait de caroline sury / crédit photo : aileen orain
caroline sury - "fish noise", 2012 - papier découpé, 70 x 50 cm

---------------------------------------------------------------------------------------------------------
/ en partenariat avec /
---------------------------------------------------------------------------------------------------------

---------------------------------------------------------------------------------------------------------

 

> retour haut de page