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art's factory présente
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> a friendly week-end with Jim Avignon !
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Après une année
2003 particulièrement chargée incluant notamment
une rétrospective au Musée d'Art Contemporain de
Jyväskylä (Finlande) et une expo au Goethe Institute
de Singapour, Jim Avignon l'infatigable enfant terrible du marché
de l'art allemand, est de retour à Paris pour un week-end
exceptionnel.
Sont programmés dans le cadre de ce réjouissant
événement, un live le jeudi 27 novembre avec son
one man band Neoangin dans le cadre de la soirée Trash
Poney du Nouveau Casino (*) et une exposition pour 2 jours
seulement les 29 et 30 novembre à l'Art's Factory (**),
son traditionnel point de chute parisien.
Une nouvelle occasion pour découvrir
sur scène l'électropop minimaliste et punchy du
trublion berlinois avant de s'arracher ses dernières compositions
graphiques sur papier et carton au cours d'un vernissage "soundesigné"
par l'énigmatique couple de DJ nantais : The Brain.
Conseil amical, les expositions de Jim Avignon étant traditionnellement
sold out en quelques heures il fortement recommandé aux
afficionados d'être ponctuels !
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(*) Neoangin live le jeudi
27 novembre 2003
dans le cadre de la soirée
Trash Poney au Nouveau Casino
avec Eva Peel (Warm Up - Inner), Exotica (live électro-Fiat
Lux) et Julien de Nantes (DJ set electro-rock)
Nouveau Casino 109 rue Oberkampf 75011 Paris
tél 01 43 57 57 40 - www.nouveaucasino.net
M° Parmentier, St Maur, Ménilmontant
> entrée 5 euros sans conso, de minuit à l'aube
(**) Exposition Jim Avignon les 29 et 30 novembre 2003
Art's Factory - 48, rue d'orsel 75018 paris - tél
: 01 53 28 13 50 -
> vernissage le samedi 29 novembre de 11h à 20h - guest
DJ The Brain
> lazy brunch + lounge music le dimanche 30 novembre de 11h
à 20h
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> à propos de jim avignon
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Pop Art, expressionnisme, comics, médias, graffitti, jeux
vidéos et club culture, les influences de Jim Avignon
ratissent large ancrant directement sa peinture dans notre quotidien
. A lorigine du mouvement Cheap-Art, Jim Avignon a toujours
souhaité que ses oeuvres puissent être accessible
au plus grand nombre. Penser que lon doit avoir un
background culturel pour comprendre et apprécier lart,
je trouve ça très élitiste et démodé.
Je ne suis pas un artiste dans ce sens là, je suis plutôt
un témoin de notre époque ou un conteur dhistoires.
Ses nombreuses collaborations
avec des sociétés comme British Airways, Arte,
Rover ou Swatch qui ont souhaité ravaler leur image en
utilisant sa palette en technicolor, assurent pour une grande
part la viabilité de sa démarche. Véritable
Robin des Bois du marché de lart, Jim Avignon obéit
à une logique économique qui lui est très
personnelle. Pour une peinture quun particulier machète
150 euros, je fais payer une société 15 000 euros
pour la même oeuvre. Chacun paie selon ses moyens !
Cette stratégie lui permet
de diffuser sont travail à grande échelle - plus
de 10 000 oeuvres vendues depuis le début des 90's - mais
aussi de financer ses nombreuses activités, et notamment
celle de musicien. Unique membre de son groupe Neoangin,
Jim a enregistré 6 cds au répertoire autoqualifié
de "loficountry" et donné des centaines de concerts
à travers le monde. Ses chansons, véritable prolongement
musical de sa peinture, sont des petites miniatures pop excédant
rarement 2mn30. Jouées avec un enthousiasme désarmant
sur un synthétiseur Yamaha rudimentaire, elles sont particulièrement
efficaces sur scène où Jim Avignon les interprète
souvent affublé d'un masque en carton représentant
selon l'humeur; un chien, un robot où un chat ... le tout
en sautillant frénétiquement devant ses peintures
géantes tel un personnage évadé d'un gameboy
!
Hyperactif, Jim Avignon a également
réalisé une série de cartoons adaptant son
univers graphique pour la chaine de télé ARD, il
édite un magazine annuel Attack Delay et entraine
dans son sillage la scène graphique berlinoise dans des
dizaines dexpositions et de performances (Institut dArt
Contemporain de Londres, Festival Sonar de Barcelone, Club Tour
au Mexique ...).
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> jim avignon - revue de presse
Jim Avignon is the Andy
Warhol of contemporary Berlin. He paints faster than you can
switch channels and aggravates the art world by selling his work
at very pop prices. While his palette is technicolor, the humour
is strictly black.
dazed & confused
On compare souvent Jim
Avignon à Andy Warhol. Mais contrairement au maître
de cérémonie de la Factory qui était radin,
antipathique, égocentrique et bigot, l'allemand Jim Avignon,
lui, est bon vivant, sympathique et cherche avant tout à
rendre son oeuvre accessible au plus grand nombre. Epok
Quiconque a déjà
vu Neoangin en concert jubile devant l'enthousiasme, l'énergie
et la timidité avec laquelle Jim joue la popstar. SpeX
Dans les images de Jim
Avignon, les synthétiseurs montent les marches en rampant,
tandis que dans ses chansons, les mélodies se heurtent
et se chevauchent : une frénésie presque naïve
mais doucement imparable.
Les Inrockuptibles
Jim's aesthetic consist
of collage, photos, pencil drawings, computer graphics and slogans
all jostling for space in a very post-modern, multimedia way.
The music meanwhile is affably lo-fi and quirky conceived in
Jim's lounge. (...) Jim Avignon uses the same high-speed method
for both his songwriting and painting : I can do five songs in
a day Sleazenation |